Face à la révolution de l’intelligence artificielle, devons-nous nous alarmer, craindre des destructions d’emplois en masse, ou pire, que le robot ne remplace l’humain ? Nous sommes en tout cas à l’aube d’une révolution technologique dont nous ne mesurons pas encore vraiment la portée mais qui devrait être au moins aussi importante que l’arrivée d’internet dans nos vies au début des années 2000 ou celle des réseaux sociaux un peu plus tard. Cette rupture technologique constitue un saut dans le futur qui peut paraître effrayant mais, on va bien devoir se faire à l’idée que Chat GPT ou Open IA sont aussi des outils qui peuvent apporter beaucoup, faire gagner du temps et vont de toute façon prendre de la place dans nos vies. On parle ici du potentiel basculement vers des algorithmes, de tâches traditionnellement assumées par l’humain. Des fonctionnalités qui questionnent, notamment en termes de démocratie mais aussi sur le poids écologique de cette digitalisation de nos vies. Nos invités pour approfondir le sujet :
Boris Voignier, chargé de projet pour l’association Aremacs, qui propose un accompagnement à la réduction, la gestion et la valorisation des déchets dans le secteur de l’événementiel. Juliette Quef, journaliste, co-fondatrice du média Vert.eco. Vous publiez un nouveau poster qui parle des enjeux environnementaux liés au numérique Thierry Leboucq, président de Greenspector, éditeur d’une solution SaaS qui permet aux entreprises de se mesurer et analyser son service numérique mobile, web ou objet connecté pour réduire in fine son impact. Marion Graeffly, Co-fondatrice de TeleCoop, premier opérateur télécom coopératif engagé dans la transition écologique et solidaire.